
Une femme au sein d’un groupe se sent mal à l’aise et s’observe en permanence, illustrant la pression sociale, l’anxiété en société, la peur d’être jugée et le besoin de se sentir enfin à sa place dans les relations.
Tu connais cette sensation ?
Celle d’entrer dans une pièce, d’être entourée de gens…
et de sentir toutes tes alarmes internes s’activer.
Tu veux bien faire.
Tu veux être “cool”.
Tu veux que tout le monde soit à l’aise.
Tu t’adaptes. Tu arrondis. Tu contrôles.
Et pendant ce temps-là, tu t’oublies.
Si aujourd’hui tu te sens mal à l’aise en groupe, que tu as cette peur du regard des autres qui te met la pression sociale en permanence… tu n’es pas seule.

se sentir jugée par les autres
Ce sont des choses que tu fais sans même t’en rendre compte,
mais qui disent beaucoup de ce que tu ressens à l’intérieur :
Tu dis « fais pas gaffe, c’est le bordel »…
alors que tu as paniqué 20 minutes avant pour ranger chaque détail.
Tu dis « c’est pas grand-chose »…
alors que tu as mis tout ton cœur dans ce repas.
Tu t’excuses quand quelqu’un te bouscule,
comme si tu prenais trop de place.
Tu gardes ton opinion pour toi,
pour ne pas déranger ceux qui pensent autrement.
Tu dis que ton enfant est fatigué quand il est juste lui-même,
par peur qu’on pense qu’il est “mal élevé”, alors qu’en réalité c’est l’environnement qui le stresse.
Tu regardes ton téléphone
comme si une notif urgente t’appelait
(alors qu’il est en mode avion).
Tu t’intéresses beaucoup aux autres,
pour éviter qu’on te demande “Et toi, tu deviens quoi ?” et tu n’as aucune envie de raconter à quel point tu galères dans ta vie pro ou perso.
Tu donnes raison… même quand tu sais que l’autre a tort,
par peur du conflit.
Tu analyses ensuite chaque mot, chaque sourire, chaque silence,
comme si ta valeur se jouait là-dessus.
Ce n’est pas un manque de confiance en soi, c’est souvent une hypersensibilité relationnelle liée à ton vécu.

Trop réfléchir se sentir rejetée
Ce que tu crois : « Tout le monde me regarde. Tout le monde me juge. »
La vérité : Chacun est trop occupé à se juger lui-même pour te juger toi.
Mais ton cerveau, lui, ne le sait pas.
Et même quand la situation n’est pas toxique, ton anxiété sociale croit qu’il y a un danger.
Ce que tu ressens n’est pas “lié à ton caractère”, ni “un manque de confiance”, ni “un tempérament compliqué”… Ce n’est pas qui tu es qui crée mais ce que tu ressens, et crois à propos de qui tu es.
Qui a été défini par ce que tu as vécu, ou subi comme critique, déception, jugement, reproches ou « étiquettes ».
C’est une réaction de survie.
Ton système nerveux a appris très tôt que :
-> être toi-même = risque de rejet
-> dire non = risque de conflit
-> prendre ta place = risque de déranger
Parce que tu as vécu des expériences où on te l’a fait sentir : rejet, moquerie, abandon, humiliation.
Ton corps et ton mental ont enregistré ce genre de moments comme le risque de ressentir une souffrance, qu’ils considèrent comme mourir. Donc ils vont tout faire pour éviter que ça se reproduise, en créant des comportements qui t’épuisent, pour paraitre autrement.
Le lien entre ces comportements que tu adoptes et ce qui t’est arrivé sont en fonction de ton histoire. D’où la nécessité d’explorer ce qu’il se joue pour toi personnellement et pas te fier qu’aux généralités que tu peux lire partout.
Donc il te protège.
À sa façon.
Pas toujours la plus douce.

Se sentir libre et confiante d’être soi même
Imagine…
Parce que tu sais que tu as le droit d’exister sans performance, sans masque, sans adaptation permanente. Parce que tu as compris que les autres t’apprécient justement pour tout ces p’tits trucs qui font la différence, et te rendent unique.
Parce que tu as compris qu’être toi même, oser dire ce que tu penses, défendre tes convictions, ce n’est pas avoir un comportement contre les autres ou égoïste, mais c’est être en lien.
Etre en lien sécure avec soi, et être en lien avec les autres.
Tu peux apprendre à t’affirmer sans conflit, à poser ta voix et à prendre ta place.
C’est ton droit d’être en paix.
Tout ce que tu fais, tu le fais pour te protéger.
Pour être aimée.
Pour ne pas décevoir.
Pour ne pas déranger.
Tu fais du mieux que tu peux avec ce que tu as appris.
Mais tu n’es plus obligée de subir ce programme-là.
Tu peux le transformer.
Tu peux réapprendre à :
Te sentir en sécurité en présence des autres
Ecouter ton rythme intérieur
Poser tes besoins sans peur
Accueillir ton enfant tel qu’il est
Vivre tes relations avec simplicité
Dans un espace sécure, doux et concret, où tu peux déposer l’armure et redevenir toi, sans justification.
Tu veux arrêter d’avoir peur du regard des autres
et te sentir vraiment à ta place ?
👉 Réserve ta séance individuelle ici.
👉 Ou rejoins le prochain cercle Entre Nous à Carpentras. Un moment de sororité, entre cercle de femmes, groupe de paroles et expérience d’introspection.
Le jeudi 6novembre de 14h à 16H le thème sera « Ma relation à l’autre » (suis l’actualité des différents ateliers car c’est un sujet récurrent, à aborder selon des angles différents).
Parce que tu mérites d’être en relation sans te faire violence.
Sans masque.
Sans sur-adaptation.
En étant juste vivante.
Juste toi.
Si tu désires nous rejoindre ou réserver ta séance à Carpentras, dans le Vaucluse, ou à distance, contacte-moi.
avec Amour et Compassion,
Julie Michaux
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